Vous venez d’être promu à la tête de la gestion financière d’une entreprise. Cette lourde tâche de gestion n’est pas du tout aisée. Cela dit, en tant que directeur financier, vous devez remplir les missions dédiées à ce poste. Vous êtes ainsi soumis à des contraintes de cette entreprise et aux différentes visions de ses actionnaires. Vous êtes aussi amené à être confronté aux choix de financement. En effet, face à cette situation, deux choses sont à comprendre. il s’agit de l’effet de levier financier d’une part et la capacité de remboursement d’autre part.
Pourquoi l’effet de levier de financement ?
Pour financer une entreprise, les dettes financières ainsi que les capitaux propres de l’investissement représentent l’effet levier. C’est d’ailleurs le point focal de toute politique de financement dont vous devez à tout prix appréhender puisque vous êtes le directeur financier. En effet, l’issue d’un effet de levier se détermine à travers la différentiation entre le ratio de la rentabilité de l’économie et celui de rentabilités apporte par les capitaux propres.
Les capitaux propres peuvent avoir une rentabilité allant à 7%, et ceci en cas de l’absence de dette. Habituellement, l’investisseur en capital demande souvent que des capitaux propres donnent une rentabilité qui dépasse le ratio que l’économie rentabilise. Pour répondre à cette exigence, il faut jouer la carte du levier financier pour que les investisseurs rentabilisent les capitaux propres.
Deux éléments principaux composent l’effet de levier en financement. Il y a d’abord l’élément qualitatif qui est l’élément de différenciation entre le taux d’endettement et la rentabilité de l’économie. Le second élément est l’élément quantitatif et il établit le rapport entre les capitaux propres (en montant) avec l’endettement.
L’insuffisance de l’effet du levier
La capacité remboursement d’une entreprise est la véritable le maillon faible de l’effet levier. Ceci étant, il faut alors réduire le recours excessif au Ibo au cours des activités cycliques. Il est question principalement de ces activités aux aléas considérables.
Par ailleurs, il peut arriver que la rentabilité économique attendue se retrouve en bas de l’emprunt effectué. Une incidence est éminente. La capacité de rentabilité du financement habituel baisse. Dans ce cas précis, l’ebitda permettra de faire une bonne capitalisation boursière avec l’emprunt financier.
L’essentiel sur la capacité de remboursement
Avec un business plan, le calcul des flux prévisionnels s’effectue, lesquels déterminent l’endettement maximum à ne pas excéder pas l’entreprise. Cette opération permettra de dynamiser la vision sur la capacité qu’à la société de rembourser ses emprunts. Pour une bonne rentabilité financière dans un investissement locatif par exemple, faites un emprunt qui soit dans vos limites de capacité de remboursement.
En effet, pour avoir le résultat escompté, le holding en endettement doit correspondre à vos capacités financières. Vous devez pouvoir déterminer les périodes de remboursement des dettes selon votre capacité maximale à vous acquitter des dettes.
L’entreprise doit pouvoir elle-même financer au moins à moitié sa croissance du BFR. Tout décaissement doit être strictement contrôlé. Faites souvent un cumul et une actualisation des emprunts sur période avec chronologie.